Eh bien je me tiens une de ces patates, moi, les amis !
Alors OK, je ne cuisine pas autant que je voudrais. Les photos, n’en parlons pas et les billets… ahem, eh bien vous êtes bien placés pour savoir que c’est la MISÈRE.
Apparemment, les vocations de professeur formatrice (en ZEP) et de cuisinière bloggueuse (internacheuneul, pliz) ne sont pas très compatibles.
Alors bon, peut-être, ma vie professionnelle prend une place dingue, mais figurez-vous que grâce à cela, chaque moment vécu devient COMPLÈTEMENT INTENSE !
Chaque seconde que je chaparde pour parler avec mes filles/mon mari/mes ami(e)s est un incroyable moment d’harmonie et de fusion.
Chaque petite sortie où j’ai fait autre chose que donner des conseils à un stagiaire est une pure aventure de malade.
Et surtout chaque petite recette concoctée à la va-vite est un régal intersidéral qui me cloue le bec (mais à peine, il faut quand même bien enfourner la fourchettée suivante) (oui, j’ai inventé le mot « fourchettée », car il n’existait pas, et c’est un tort). Continuer la lecture